photo Exposition

Exposition "Trouville que j’aime" de Pascal Denis

Exposition, Photographie - Vidéo

Trouville-sur-Mer 14360

Du 13/01/2025 au 31/01/2025

Exposition "Trouville que j’aime" : une plongée au cœur des visages commerçants Du 16 décembre 2024 au 31 janvier 2025, la mairie de Trouville-sur-Mer accueille une exposition photographique de Pascal Denis, unique dédiée aux commerçants de la ville. Installée dans la rotonde, au premier étage de l’hôtel de ville, cette exposition met en lumière quatorze portraits capturés au gré des rencontres en ville. Chaque photo, rehaussée d’un filtre vintage légèrement jauni, évoque la patine du temps qui passe, un clin d’œil à l’histoire et à l’authenticité de ces figures locales. À chaque image s’ajoute une citation ou un commentaire, oscillant entre humour et poésie, pour raconter un fragment de vie ou esquisser un trait de caractère. Bouchers, horlogers, marins-pêcheurs, fleuristes, fromagers, cavistes, pharmaciens ou facteurs : les métiers représentés composent un véritable tableau du tissu commercial local. Si la sélection reste incomplète – d’autres clichés existent encore –, l’exposition célèbre avec finesse et sincérité l’âme commerçante de Trouville. Cette initiative, portée en partenariat avec l’association des commerçants Cap Trouville, offre une nouvelle perspective[...]

photo Rimbaud en feu

Rimbaud en feu

Théâtre

CAEN 14000

Le 21/11/2021

Dans le cadre de Dimanche au Théâtre, le Théâtre de Caen accueille la pièce Rimbaud en feu, tirée du livre de Jean-Michel Djian, avec Jean-Pierre Darroussin.En 1924, l’année même où André Breton publie le Manifeste du surréalisme dans les colonnes du Figaro, on retrouve l’auteur d'Une saison en enfer enfermé dans sa chambre d’hôpital à Charleville. Vivant il est, plus voyant encore qu’à 20 ans lorsqu’il décide d’en finir avec la poésie. C’est un génie en feu qui s’installe devant nous, hagard, illuminé mais plus flamboyant encore qu’il ne l’a jamais été. Ce n’est plus un corps qui parle, c’est une âme. Un homme « sans semelles et sans vent » qui invite sur son « Bateau ivre » aussi bien son infirmier que Paul Verlaine, Alfred Jarry, Ignace de Loyola, Léo Ferré… Comme si, sur un coup de folie, et avant que les derniers feux de la modernité ne l’accablent lui et ses semblables, Arthur Rimbaud s’autorisait une magistrale leçon de vie.